Si tu savais, ô si seulement tu savais,
Ne serait-ce qu’une seule fois pour te rendre compte,
À quel point il est impossible de vivre le cœur vide,
À quel point le néant que tu ne remplis pas te détruit.
Si tu voyais, si seulement tu voyais
le feu ardent de mon âme,
si tu voyais le feu des étoiles,
alors d’une seule étincelle tu embraserais le monde.
Si tu ressentais, si seulement tu ressentais
le vent qui soulève le monde.
Celui qui te porte et t’emporte,
Qui te fait goûter au sublime et te rend vivant,
Eternel.
Elohriël, 2020
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